Le 10^e Prix Denis-Lalanne en photos

Au terme d’une longue parenthèse marquée par la pandémie mondiale de coronavirus, le Prix Denis-Lalanne revient au restaurant Drouant, dans le célèbre salon des Goncourt, pour sa dixième édition. Un lieu exceptionnel, littéralement habité.

© Cristel Éditeur d’Art / Émilie Hautier

Gastronomie et présentation françaises. Ici, tout pourrait s’écrire avec des fleurs…

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Visite privée pour un autre lieu d’exception : le petit salon où l’immense Colette recevait son ou ses deux invités. Christophe Penot, l’organisateur du Prix Denis-Lalanne, y accueille Frédérique Galametz et Géraldine Pons, deux lectrices très avisées.

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Mathieu Coureau a rejoint Frédérique Galametz. Bienvenue aux deux invités ès qualités de cette dixième édition du Prix Denis-Lalanne – Trophée Roland-Garros.

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Géraldine Pons retrouve Alain Frachon. Deux inamovibles jurés qui ont également connu la joie de présider le jury.

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Neuvième Prix Denis-Lalanne consécutif pour Philippe Peyrat. En juré exemplaire, il s’est déjà mis au travail !

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Quand deux admirateurs de Roger Federer se retrouvent ! La très franche et très chaleureuse poignée de main entre Alexandre Bompard, le président-directeur général du groupe Carrefour, et Thomas Sotto, journaliste de radio et de télévision qu’on ne présente plus.

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Empressement d’éditeur d’art. Christophe Penot présente à Thomas Sotto, président du Jury du 10^e Prix Denis-Lalanne, l’exceptionnelle lithographie réalisée par le peintre italien Valerio Adami.

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Du renfort pour une œuvre d’art. Gilles Moretton, président de la Fédération Française de Tennis, Amélie Oudéa-Castéra, directrice générale de la Fédération Française de Tennis, et Alexandre Bompard entourent Christophe Penot pour découvrir à leur tour l’œuvre de Valerio Adami.

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Conciliabules. Dans la tradition d’échanges de toute académie, Gilles Moretton et Alexandre Bompard, Alain Frachon et Sarah Pitkowski, directrice de la communication, des relations publiques et de la culture de la Fédération Française de Tennis, Amélie Oudéa-Castéra et Thomas Sotto évoquent certainement cette dixième édition qui doucement se dessine…

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Tous ensemble ! Christophe Penot, Alain Frachon, Frédérique Galametz, Mathieu Coureau, Amélie Oudéa-Castéra, Thomas Sotto, Alexandre Bompard, Amélie Mauresmo, Géraldine Pons, Sarah Pitkowski, Gilles Moretton et Philippe Peyrat posent pour ce qui restera la photographie officielle du 10^e Prix Denis-Lalanne – Trophée Roland-Garros.

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Mission d’organisateur. Au nom de la Fédération Française de Tennis et de son président Gilles Moretton, Christophe Penot, entre Mathieu Coureau et Géraldine Pons, a le plaisir d’accueillir les jurés du 10^e Prix Denis-Lalanne – Trophée Roland-Garros.

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Il l’avait promis, il l’a fait. Entre Géraldine Pons et Alexandre Bompard, Gilles Moretton, président fédéral, confirme le soutien décisif qu’il apporte à une assemblée annuelle aujourd’hui regardée comme la véritable Académie de Roland-Garros.

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Illustre compagnonnage. Aux côtés de Gilles Moretton et d’Amélie Mauresmo, Alexandre Bompard, invité d’honneur de cette dixième édition, confirme joyeusement ce que chacun sait autour de la table : sa passion pour les mots et pour les champions !

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« Maintenant, c’est à moi d’ouvrir les débats », semble avertir Thomas Sotto, président du Jury. Une mission remplie avec humour, bonne humeur et main de maître !

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L’expérimenté Philippe Peyrat a pris la parole pour énoncer ses choix. Au premier tour, chacun doit désigner cinq articles parmi les vingt et un retenus pour cette dixième édition.

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L’avis d’un grand professionnel, reporter à Ouest-France, quotidien francophone le plus lu dans le monde. Mathieu Coureau nous permettra de rappeler qu’il a reçu en 2011 le Prix LCL-UJSF récompensant le meilleur article de sport de l’année.

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Point de vue présidentiel. Il n’est de secret pour personne que Gilles Moretton privilégie d’abord, dans un papier, ce qu’il appelle la « force d’émotion ».

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Énarque et championne, et même future ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques dans le gouvernement Élisabeth Borne — elle sera officiellement nommée quatre jours plus tard —, Amélie Oudéa-Castéra avoue son formidable intérêt pour un portrait de Björn Borg signé par Jean-Julien Ezvan dans les colonnes du Figaro. Une véritable montée au filet !

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Amélie Oudéa-Castéra en avocate passionnée. Alain Frachon et Amélie Mauresmo vérifient dans le texte.

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Ici, tous les avis et tous les mots comptent. Aux côtés de Thomas Sotto et de Mathieu Coureau, et dans un superbe tour de mains, Frédérique Galametz, rédactrice en chef à L’Équipe, et Amélie Oudéa-Castéra poursuivent un débat de plus en plus passionné, de plus en plus passionnant.

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Gilles Moretton et Alexandre Bompard ne seront pas en reste. Depuis combien d’années les boiseries du plus célèbre salon de la littérature française n’avaient-ils pas été les témoins d’un pareil débat ?

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Entre Amélie Oudéa-Castéra et Frédérique Galametz, un juge de paix nommé Thomas Sotto. À lui d’ouvrir l’œil, et le bon !

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« Et toi ? Tu en penses quoi ? » Confraternité bretonne et beaucoup de connivence entre Mathieu Coureau et Christophe Penot qui devront voter, eux aussi.

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La voix d’un maître. Éditorialiste au Monde blanchi sous le harnais, le réputé Alain Frachon est monté à son tour au filet pour donner à entendre un autre son de voix dans un jury aussi engagé que démocratique !

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Premier jury et premier vote pour Amélie Mauresmo, ancienne numéro un du tennis mondial, devenue directrice du tournoi de Roland-Garros. Moment quasi historique saisi par Émilie Hautier, photographe officielle du Prix Denis-Lalanne.

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Deux articles, « Les confs, ça ose tout », du Français Franck Ramella, et « À Roland-Garros, dans la chaleur de l’ennui », de son confrère suisse Laurent Favre, demeurent en lice. Sous les yeux de Thomas Sotto et de Frédérique Galametz, Amélie Oudéa-Castéra ouvre un nouveau débat, aussi passionné !

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« Devant deux papiers aussi exceptionnels, je vais moins préférer l’information que l’excellence d’un style », prévient Alexandre Bompard. On pourra vérifier bientôt que Gilles Moretton partage le même avis.

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L’aimable, et généreuse, et indispensable intensité des débats. Philippe Peyrat, Sarah Pitkowski et Alain Frachon n’en perdent pas un seul mot.

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Jurée redoutable et redoutée, Géraldine Pons, directrice des sports d’Eurosport France, a pris les choses en main. Une relecture phrase à phrase, pour faire ressortir effectivement l’excellence du style de Laurent Favre.

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Puisqu’il faut bien choisir, Amélie Mauresmo, elle, privilégiera les nombreuses informations inédites joliment réunies par Franck Ramella. Comme chaque juré d’un désormais inoubliable 10^e Prix Denis-Lalanne, Philippe Peyrat est à l’écoute.

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Ultime vérification. Mais Sarah Pitkowski en est déjà persuadée : quelle que soit l’issue du vote, l’article lauréat restera dans les annales.

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Alain Frachon pour un ultime smash. En connaisseuse, Sarah Pitkowski apprécie la beauté du geste.

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La passion du tennis, en version rive droite-rive gauche. Dans un dernier mouvement, Gilles Moretton tente de rallier à son panache et Thomas Sotto et Frédérique Galametz.

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Troisième et dernier tour de scrutin. Sans la moindre certitude, mais dans une évidente bonne humeur, Géraldine Pons, Christophe Penot et Mathieu Coureau font passer les bulletins de vote.

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Douze jurés, douze votants. Assisté par Frédérique Galametz, Thomas Sotto, en parfait président du Jury, compte un à un les bulletins exprimés.

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Elle en est sûre ; ce sera serré ! Aux côtés d’Alexandre Bompard et de Philippe Peyrat, Amélie Mauresmo attend impatiemment la décision de l’arbitre.

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Six voix pour Franck Ramella, journaliste à L’Équipe ; six voix pour Laurent Favre, journaliste au Temps — mais celle du président du Jury compte double ! Sous le regard complice d’Amélie Oudéa-Castéra, Thomas Sotto met fin au suspense : il a voté pour « Les confs, ça ose tout », l’article de Franck Ramella.

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La paix des braves. Dans la tradition conviviale de cette académie tennistique, Alain Frachon et Amélie Oudéa-Castéra se retrouvent immanquablement sur le même point : le génie de cette petite balle jaune qui fait chanter les chantres !

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L’expérience pour conclure. Auprès d’Alexandre Bompard, d’Amélie Mauresmo et de Sarah Pitkowski, Philippe Peyrat témoigne qu’il a vécu là un de ses jurys les plus passionnants, les plus disputés.

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Rendez-vous ce 25 mai 2022, au stade Roland-Garros, dans l’espace réservé à la presse. Pour la remise du 10^e Prix Denis-Lalanne.

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Deux invités à l’honneur… Christophe Penot, l’organisateur du Prix Denis-Lalanne, se fait une joie infinie de présenter Franck Ramella, le lauréat, à Valerio Adami, auteur de la lithographie spécialement réalisée pour cette dixième édition.

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Belle rencontre. Géraldine Pons, directrice des sports d’Eurosport France, a tenu à témoigner à Valerio Adami sa très sincère admiration pour son œuvre.

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Belle rencontre, encore ! Amélie Mauresmo, ancienne lauréate de l’Open d’Australie et du tournoi de Wimbledon en 2006, a rejoint Christophe Penot et Géraldine Pons pour saluer un autre maître international — le peintre Valerio Adami qui avait créé, en 1980, il y a exactement quarante-deux ans, la première affiche de Roland-Garros !

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Rencontre, toujours ! Directrice de la communication, des relations publiques et de la culture de la Fédération Française de Tennis, Sarah Pitkowski a tenu à rejoindre Christophe Penot, Valerio Adami et Camilla, son épouse, également peintre — et prête à réaliser, en 2023, la lithographie du futur 11^e Prix Denis-Lalanne.

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Ils ont tant à se dire… Sous le regard d’Amélie Mauresmo et de Lucile Alard, sa consœur de L’Équipe, Franck Ramella a retrouvé Thomas Sotto, président d’un Jury qui l’a consacré.

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Neuf jours après le dîner du Jury, Mathieu Coureau et Alain Frachon se retrouvent. On remarquera qu’en avisé éditorialiste du Monde, ce dernier, toujours levé de bon matin, a déjà largement annoté son indispensable New York Times !

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Merci ! Un seul mot suffit à Christophe Penot pour ouvrir la cérémonie de remise du 10^e Prix Denis-Lalanne – Trophée Roland-Garros en compagnie de Géraldine Pons, Mathieu Coureau, Alain Frachon, Valerio Adami, Gilles Moretton, Amélie Mauresmo, Alexandre Bompard, Thomas Sotto, Franck Ramella et Sarah Pitkowski.

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Soutien sans faille. Sous le regard de Valerio Adami et d’Amélie Mauresmo, Gilles Moretton, président de la Fédération Française de Tennis, salue l’éternelle passion d’une presse sportive compétente et libre.

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Dissipés ! Alexandre Bompard et Thomas Sotto revoient dans la bonne humeur la liste des vingt et un articles qui étaient candidats au Prix Denis-Lalanne remporté par Franck Ramella.

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Un traditionnel livret de remise du Prix Denis-Lalanne qui a du succès ! Amélie Mauresmo rejoint Alexandre Bompard dans sa relecture de l’article primé.

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Haie d’honneur ! Des confrères venus spécialement pour féliciter Franck Ramella, au premier rang desquels on reconnaît Laurent Favre, journaliste au Temps, deuxième de cette dixième édition.

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À Roland-Garros, tout finit toujours par des rires. Amélie Mauresmo, Alexandre Bompard, invité d’honneur du 10^e Prix Denis-Lalanne, Thomas Sotto, Franck Ramella et Sarah Pitkowski en témoignent.

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Moment solennel. Thomas Sotto, président du Jury, explique à l’assistance et à Gilles Moretton, Amélie Mauresmo et Alexandre Bompard les raisons pour lesquelles, en son âme et conscience, il a préféré, au troisième et dernier tour, l’article « Les confs, ça ose tout ».

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La consécration tant attendue. Aux côtés de Christophe Penot, d’Amélie Mauresmo, d’Alexandre Bompard et de Thomas Sotto, Franck Ramella a reçu, des mains de Valerio Adami et de Gilles Moretton, la lithographie spécialement créée pour le 10^e Prix Denis-Lalanne.

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Une prise de parole bien méritée. Franck Ramella tient à remercier à son tour la Fédération Française de Tennis pour l’action, unique en son genre, qu’elle mène avec ténacité sur le front toujours renouvelé de la presse sportive francophone.

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Le bel hommage de Franck Ramella : « Je te remercie, chère Amélie, d’avoir défendu mon article, alors que moi-même je n’ai pas toujours défendu la championne que tu étais sur les courts… » La preuve, soit dit en passant, que la nouvelle directrice du tournoi de Roland-Garros s’est coulée, avec une extrême élégance, dans ses habits académiques de jurée du Prix Denis-Lalanne.

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Géraldine Pons, Alain Frachon et Mathieu Coureau refont le débat. Jurés, passionnément !

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Eux aussi aiment le sport et les mots. Jean-Julien Ezvan, l’excellente plume du Figaro, lauréat du 5^e Prix Denis-Lalanne, échange avec Estelle Couderc, l’une des collaboratrices du Quotidien de Roland-Garros.

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Tous pour un, un pour tous ! Les envoyés spéciaux du quotidien L’Équipe sur le tournoi de Roland-Garros entourent Franck Ramella, récipiendaire fêté et ému.

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Une œuvre d’art en partage. Christophe Penot et Franck Ramella présentent à Roman Lefebvre, rédacteur en chef à L’Équipe, ainsi qu’à Pierre Lahalle, l’un des photographes du journal, le tirage unique sur Japon nacré remis au lauréat.

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Entourée ! Sylvie de Ligt, déléguée par la Fédération Française de Tennis à l’organisation du Prix Denis-Lalanne, a retrouvé Laurent Favre et Christian Despont, deux anciens lauréats. À ses côtés, on reconnaît Marius Veillerot, lauréat 2022 du Prix Gérard du Peloux réservé aux étudiants de l’École supérieure de journalisme de Lille — le blé en herbe !

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Dix ans d’histoire, déjà, pour le Prix Denis-Lalanne. Et une belle confraternité dont témoigne, ici, l’aparté entre l’organisateur, Christophe Penot, et David Loriot, lauréat de la sixième édition.

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Le mot de la fin et la main sur le cœur pour les Ramella père et fils. Une joie partagée avec Thomas Sotto et Alexandre Bompard, lesquels ont tenu à célébrer jusqu’au bout l’aventure du 10^e Prix Denis-Lalanne – Trophée Roland-Garros.

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