Le 8e Prix Denis-Lalanne en photos
Millésime forcément historique. Dans le contexte mondial de l’épidémie de Coronavirus, le Prix Denis-Lalanne adopte une nouvelle adresse : le prestigieux restaurant Drouant, à Paris.
© Cristel Éditeur d’Art / Émilie Hautier
Le Drouant, certes… Mais surtout le plus fameux des salons littéraires de France, celui des Goncourt !
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Des murs, eux aussi, historiques. C’est en effet dans ce salon que se réunit, depuis 1914, l’académie Goncourt pour décerner chaque année, en novembre, le célèbre prix éponyme.
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Sylvie de Ligt, déléguée par la Fédération Française de Tennis à l’organisation du Prix Denis-Lalanne, et Christophe Penot, l’organisateur, ont ouvert grand la porte. Ils sont déjà rejoints par Philippe Peyrat, directeur du département mécénat sponsoring du groupe Engie, fidèle juré parmi les fidèles.
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Salutations présidentielles au temps du Coronavirus ! Bernard Giudicelli, le président de la Fédération Française de Tennis, accueille Céline Géraud, présidente de ce huitième Jury, sous le regard de Géraldine Pons et de Philippe Peyrat.
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La photographie officielle du 8e Prix Denis-Lalanne – Trophée Roland-Garros. On reconnaît, de haut en bas, Alain Frachon, Philippe Peyrat, Nathalie Azoulai, Philippe Labro, Géraldine Pons, Céline Géraud, Nathalie Ricard Deffontaine, Bernard Giudicelli, Christophe Penot et Clarisse Nénard.
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Bonheurs de l’édition d’art. Christophe Penot présente à Philippe Labro, invité d’honneur de cette huitième édition, la lithographie spécialement réalisée pour le Prix par l’artiste néerlandais Pat Andrea.
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Courtoisie. Bernard Giudicelli fait connaissance avec Clarisse Nénard, journaliste indépendante spécialisée dans le sport et la santé, l’une des deux invitées ès qualités du millésime.
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Sous le regard de Nathalie Ricard Deffontaine, de Philippe Peyrat et de Céline Géraud, Christophe Penot témoigne d’un immense bonheur : avoir pu fonder ce Prix Denis-Lalanne qui honore un maître du journalisme. Neuf mois après sa disparition, cette édition lui est profondément dédiée.
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Entre Clarisse Nénard et Philippe Labro, le président Bernard Giudicelli, au nom de la Fédération Française de Tennis, salue de nouveau la mémoire du cher disparu. « Adieu Denis. Merci pour ce regard unique que tu portas sur le tennis. Tu siègeras à jamais au Jury du Lalanne. Les grandes plumes ne s’envolent jamais car elles sont encrées dans nos mémoires », avait-il prévenu au soir de son décès.
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« Pour bien écrire sur le sport – comme sur tout, d’ailleurs –, il faut savoir aimer ses personnages, se rendre compte qu’ils sont différents de vous et moi – avec leur énergie, leur folie, leur don du surpassement. Les obsèques de Lalanne ont eu lieu hier, mercredi, en l’église Sainte-Marie d’Anglet, en pays basque, le pays où l’on aime l’ovale, – ce ballon qui ne rebondit pas comme les autres, symbole des surprises de la vie. Lalanne avait compris tout cela », avait écrit de son côté Philippe Labro. Un hommage qu’il renouvelle à la table du Jury.
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« Surtout, quand je ne serai plus là, tu ne demanderas pas une minute de silence, hein ?! Tu les feras boire à ma santé ! » avait-il réclamé depuis toujours. Dans une indicible émotion, Denis Lalanne aura été entendu…
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Place aux débats… Céline Géraud, présidente du Jury – et ancienne vice-championne du monde de judo –, oblige Christophe Penot et Philippe Peyrat, ainsi que l’ensemble des jurés, à regarder au plus près les dix-huit articles en lice.
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Philippe Labro prend des notes tandis que l’écrivaine Nathalie Azoulai est à l’écoute. Une lauréate du Prix Médicis que nous avons le bonheur d’accueillir comme invitée ès qualités.
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D’un Philippe à l’autre. « Cher Philippe, les mots sont les mots », semble dire Philippe Peyrat à destination de Philippe Labro, tandis que Céline Géraud et Nathalie Ricard Deffontaine vérifient dans le texte.
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Nathalie Ricard Deffontaine, directrice de la communication et de la transformation digitale de la Fédération Française de Tennis, a pris la parole. Une manière de souligner toute l’importance que conserve la presse écrite, et son antique sagesse, à l’heure d’internet !
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Est-il nécessaire de rappeler ses brillants reportages dans Le Monde et ses chroniques à la radio ? En homme de presse expérimenté et en invincible passionné de tennis, l’indispensable Alain Frachon détaille une à une ses quelques préférences…
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Céline Géraud à la relance ! Dans la tradition des débats enlevés, la présidente du Jury, aux côtés de Philippe Peyrat et de Nathalie Ricard Deffontaine, prolonge le dialogue avec Alain Frachon.
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Nathalie Azoulai toujours à l’écoute. Mais elle ne manquera pas, elle aussi, de faire entendre sa voix…
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Cette fois, il y a match ! Entre Clarisse Nénard, Philippe Labro et Nathalie Azoulai, Bernard Giudicelli intervient pour défendre ses propres plaisirs de lecture.
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Sous le regard de Nathalie Azoulai, Géraldine Pons relève le gant avec son énergie habituelle. Chaque article est passé au crible !
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Pas de pitié pour le dossier d’articles ! Après une scrupuleuse lecture, Géraldine Pons défend ses préférences pied à pied !
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Le dialogue rebondit entre Philippe Labro et Nathalie Azoulai. Pour le plus grand bonheur de la langue française…
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Bernard Giudicelli énumère lui aussi. Philippe Labro est très attentif.
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Clarisse Nénard dans le compagnonnage de Christophe Penot et de Céline Géraud. Un avis écouté.
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Que d’échanges, que de secrets, depuis plus d’un siècle, au cœur de ce salon. Mais il ne s’agit plus de choisir un roman ; il s’agit de désigner le meilleur article de la presse francophone consacré au tournoi de Roland-Garros 2019 !
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Deuxième tour de scrutin. Tout sourire, le président Bernard Giudicelli prévient Céline Géraud qu’il a bien voté !
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Entre trois bons articles retenus pour le deuxième tour, Nathalie Azoulai hésite encore. Sacré métier !
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Géraldine Pons paraît circonspecte… Alain Frachon, lui, a fait son choix.
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Alain Frachon, Nathalie Ricard Deffontaine et Philippe Peyrat assesseurs et témoins. Céline Géraud dépouille, Christophe Penot inscrit, Clarisse Nénard vérifie : les règles de l’art…
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Ici comme partout, chaque bulletin de vote compte ! Ce que ne manque pas de répéter Céline Géraud, la présidente du Jury, en compagnie de Philippe Peyrat.
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De joyeux au revoir, même au temps du Coronavirus ! Alain Frachon, Bernard Giudicelli, Philippe Labro et Céline Géraud mettent le point final au 8e Jury du Prix Denis-Lalanne.
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Rendez-vous dans un stade Philippe-Chatrier entièrement restructuré et désormais muni d’un toit. Un exceptionnel écrin pour remettre le 8e Prix Denis-Lalanne en ce mardi 29 septembre 2020.
© Fédération Française de Tennis / Jean-Charles Caslot
Christophe Penot, l’organisateur, inaugure avec Bernard Giudicelli, le président de la Fédération Française de Tennis, le nouveau panneau d’accueil du Prix Denis-Lalanne. Huit ans de passion fédérale au service de la presse écrite et de la francophonie !
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Éditeur d’art, toujours. Christophe Penot a le plaisir de présenter à Bernard Giudicelli le peintre néerlandais Pat Andrea, auteur de la lithographie spécialement créée pour ce millésime.
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Bienvenue à Christian Despont, lauréat du 8e Prix Denis-Lalanne avec « Numéro un dans les cœurs », formidable article consacré à Roger Federer. Il est félicité par Nathalie Ricard Deffontaine, directrice de la communication et de la transformation digitale de la Fédération Française de Tennis, et par Clarisse Nénard, jurée de cette édition.
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Heureux devoir d’organisateur. Devant son président, Bernard Giudicelli, mais aussi devant Céline Géraud, présidente du Jury de cette huitième édition, et Christian Despont, reporter au journal suisse Le Matin Dimanche, Christophe Penot remercie la Fédération Française de Tennis pour son fidèle engagement dans la défense sans cesse recommencée de la francophonie.
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Souvenirs moins présidentiels que personnels… Entouré par Pat Andrea, Christophe Penot et Céline Géraud, Bernard Giudicelli raconte son ami Denis Lalanne à Christian Despont, le huitième lauréat.
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Sous les yeux de Céline Géraud, Bernard Giudicelli et Pat Andrea ont remis le portfolio d’art à Christian Despont. Lequel reçoit donc « une épreuve unique sur Japon nacré spécialement tirée par Laurence Lépron et Étienne de Champfleury dans l’atelier À Fleur de pierre, à Paris », explique Christophe Penot.
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Elle est à lui ! Félicité par Pat Andrea, Bernard Giudicelli et Céline Géraud, Christian Despont a définitivement inscrit son nom au palmarès du Prix Denis-Lalanne.
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Ému et ravi. Plume remarquée de la francophonie, Christian Despont devient donc, un an après son confrère et ami Laurent Favre, le deuxième journaliste suisse à remporter le Prix Denis-Lalanne.
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La photographie officielle de la remise du 8e Prix Denis-Lalanne – Trophée Roland-Garros. Avec, de gauche à droite, Nathalie Azoulai, Nathalie Ricard Deffontaine, Pat Andrea, Alain Frachon, Bernard Giudicelli, Christian Despont, Céline Géraud, Christophe Penot, Géraldine Pons et Clarisse Nénard.
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Instantané présidentiel dans l’atmosphère masquée du Coronavirus ! Céline Géraud, la présidente du 8e Prix Denis-Lalanne, et Bernard Giudicelli, le président fédéral, échangent sur un nouveau tournoi de Roland-Garros ô combien historique en cette période de pandémie.
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Il leur revient de fermer le ban. Car Céline Géraud, en dévouée présidente du Jury, ne voulait pas manquer de redire à Christian Despont toute son admiration de lectrice et de sportive pour son magnifique article…
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