Le 9e Prix Denis-Lalanne en photos
Jour de soleil et jour de vent sur le stade Roland-Garros. Les jurés du 9e Prix Denis-Lalanne se sont donné rendez-vous ce 1er juin 2021.
©J ean-Charles Caslot / Fédération Française de Tennis
Deux tables en plein air, sur la terrasse présidentielle. Pour la deuxième année consécutive, le Prix Denis-Lalanne adapte son aimable résilience aux normes sanitaires de l’épidémie de la Covid 21.
© Cristel Éditeur d’Art / Émilie Hautier
Trois jurés historiques ! Alain Frachon, ancien directeur éditorial du «Monde», Géraldine Pons, directrice des sports d’Eurosport France, et Philippe Peyrat, directeur du département mécénat sponsoring du groupe Engie, se retrouvent pour accueillir, dans la tradition, les invités de cette neuvième édition.
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Inégalables vertus de l’accueil. En compagnie d’Alain Frachon, Christophe Penot, organisateur du Prix Denis-Lalanne, reçoit le cinéaste Claude Lelouch, invité d’honneur, et l’essayiste-éditorialiste Alain Duhamel, président du Jury.
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Accueil encore. Claude Lelouch, Alain Duhamel et Géraldine Pons sont rejoints par Gilles Moretton, nouveau président de la Fédération Française de Tennis, précisément élu le 13 février 2021.
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Accueil toujours. Entre Christophe Penot et Nathalie Ricard Deffontaine, directrice de la communication et de la transformation digitale de la Fédération Française de Tennis, Lionel Chamoulaud, invité ès qualités, est présenté à Alain Duhamel.
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Amélie Oudéa-Castéra, énarque et championne, directrice générale de la Fédération Française de Tennis, a rejoint Alain Duhamel, le président du Jury. Un même regard sur les mots, un même regard sur les courts.
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Salutations agréées entre Philippe Peyrat et Anne Sophie de Kristoffy, autre invitée ès qualités de cette neuvième édition. Derrière eux, on peut reconnaître Alain Duhamel, Amélie Oudéa-Castéra et Christophe Penot.
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Le Jury est désormais au complet ! Guy Forget, directeur du tournoi de Roland-Garros, a délaissé les courts pour venir occuper son fauteuil d’indispensable juré.
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Sous le regard de Philippe Peyrat, Gilles Moretton commente les arabesques d’une fameuse petite balle jaune… Pour le plus grand plaisir d’un observateur de génie, Claude Lelouch, cinéaste et irréductible passionné de sport.
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Tandis que Guy Forget a rejoint Claude Lelouch, Géraldine Pons échange avec Gilles Moretton. Premiers conciliabules!
©Jean-Charles Caslot / Fédération Française de Tennis
L’art de passer à table pour l’académie de Roland-Garros. La tradition de l’accueil, au nom de la Fédération Française de Tennis.
©Jean-Charles Caslot / Fédération Française de Tennis
Elle restera comme la photo officielle du 9e Prix Denis-Lalanne, dans le décor masqué d’une interminable pandémie. On peut reconnaître, de gauche à droite, Nathalie Ricard Deffontaine, Christophe Penot, Guy Forget, Gilles Moretton, Géraldine Pons, Philippe Peyrat, Lionel Chamoulaud, Alain Frachon, Anne Sophie de Kristoffy, Alain Duhamel et Amélie Oudéa-Castéra.
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Associer sport, art et littérature. Dans son rôle d’éditeur d’art, Christophe Penot présente à Alain Duhamel, Alain Frachon, Anne Sophie de Kristoffy et Nathalie Ricard Deffontaine la lithographie du 9e Prix Denis-Lalanne spécialement créée par l’artiste chilien Franco Salas Borquez.
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Émotion partagée. Philippe Peyrat, Amélie Oudéa-Castéra, Claude Lelouch et Gilles Moretton ouvrent à leur tour le portfolio de la neuvième édition.
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Merci. Un mot clé pour Christophe Penot, l’organisateur, qui rappelle ici que le Prix Denis Lalanne ne saurait exister sans l’appui fidèle de la Fédération Française de Tennis.
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« Lorsque le Prix Denis-Lalanne a été fondé en 2012, il entendait marquer le soutien de la Fédération Française de Tennis à la tradition de la presse écrite », rappelle Gilles Moretton, le président fédéral. Et d’annoncer qu’il soutiendra mêmement, tout au long de son mandat, ce beau métier qui permet « de tout dire quand on est juste ».
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Claude Lelouch, invité d’honneur, sous le regard de Géraldine Pons et de Christophe Penot. « Mais le plus honoré, vous savez, c’est moi. Moi, qui aime tant le sport », témoigne-t-il.
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La parole est à Alain Duhamel, président du neuvième Jury. « Puis-je avouer, prévient-il, combien j’ai été impressionné par la qualité de tous ces articles qui sont rédigés dans l’effervescence d’une salle de presse ? »
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Jours d’échanges. Deux tables, douze jurés, une académie et une même passion…
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Cinquième édition pour Alain Frachon. Comme tous les jurés, l’ancien directeur éditorial du « Monde » devra choisir cinq articles dans une sélection déjà tendue qui rassemble vingt articles.
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Comme trancher effectivement parmi des articles qui présentent tous des qualités pour être primés ? À la suite d’Alain Frachon, Anne Sophie de Kristoffy, ancienne triple championne de France de patinage artistique devenue chef du service Société à TF1, doit affronter cette inévitable difficulté.
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Les mots pour le dire. Nathalie Ricard Deffontaine présente les cinq articles qu’elle souhaite défendre en priorité.
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Philippe Peyrat à la relance, sous le regard d’Amélie Oudéa-Castéra et de Claude Lelouch. L’invincible expérience d’un juré qui siège depuis huit ans dans ce qu’il faut bien regarder comme l’académie de Roland-Garros.
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Premier Prix Denis-Lalanne pour Amélie Oudéa-Castéra. Passion et méthode pour celle qui a souligné une à une toutes ces petites phrases qui font qu’un article devient inoubliable…
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« Moi, ce que j’attends d’un article, c’est qu’il me donne à voir ce que je n’ai pas vu », explique Claude Lelouch. L’œil du cinéaste, bien sûr !
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« Moi, ce que j’attends d’un article, c’est qu’il me donne à voir ce qui m’émeut sans cesse : la passion ! », reprend Gilles Moretton. Un argument énergique et complémentaire.
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Entre Gilles Moretton et Christophe Penot, Géraldine Pons dans son rôle. Celle d’une jurée qui recherche d’année en année autant la force du style que l’information !
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« Journaliste commentateur de tennis », selon la courte présentation que Lionel Chamoulaud s’autorise. Guy Forget et Alain Duhamel peuvent témoigner qu’il les passionne encore.
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Vote à bulletin secret, dans les règles du Prix Denis-Lalanne. Amélie Oudéa-Castéra a fait son choix.
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Une certaine impatience… Sous le regard de Lionel Chamoulaud, de Guy Forget et d’Alain Frachon, Alain Duhamel lit à haute voix les votes des douze bulletins rassemblés.
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Quatre articles ont été préférés pour le deuxième tour. Entre Philippe Peyrat et Claude Lelouch, Amélie Oudéa-Castéra en profite pour relancer les débats.
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Philippe Peyrat a aussi son mot à dire. Claude Lelouch écoute, Amélie Oudéa-Castéra prend bonne note.
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Argument ou contre argument ? Il est probable que Gilles Moretton et Géraldine Pons défendent les mêmes positions.
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Surpris, heureux, informé. Lionel Chamoulaud résume ce qui fut son ressenti de lecteur professionnel en découvrant l’étonnant et bel article signé par Christian Despont.
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« Avec un texte pareil, j’aurais pu faire un film ! », explique Claude Lelouch à Gilles Moretton. Un argument de poids.
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Quatre articles en lice au deuxième tour, mais déjà la majorité absolue pour Christian Despont. Alain Duhamel, président du Jury, va se faire un plaisir d’annoncer le résultat à l’heureux lauréat&htinsp;!
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Ambiance décontractée au terme d’un jury d’exception. Philippe Peyrat n’oublie pas de se faire dédicacer son exemplaire d’« Emmanuel le hardi », dernier essai publié par Alain Duhamel, certes président du jury, mais aussi membre de l’Institut !
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Anne Sophie de Kristoffy et Guy Forget, anciens champions de haut niveau, en compagnie de Lionel Chamoulaud. Pour un coup d’œil rapide sur les résultats des matchs !
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Autre coup d’œil, celui que propose Alain Frachon à Claude Lelouch. Une vue splendide sur l’écrin de Roland-Garros, désormais rénové.
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Un palmarès du Prix Denis-Lalanne mis à jour. Neuf ans de passion au service de la presse écrite francophone.
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On ne saurait trouver de meilleur résumé. Le 9e Prix Denis-Lalanne récompense le meilleur article de presse écrit en langue française au cours du tournoi de Roland-Garros 2020.
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Modalités d’accueil. Christophe Penot, l’organisateur, s’est rapproché de Gilles Moretton, le président de la Fédération Française de Tennis.
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Heureux et fier de présider la seule fédération française qui marque un soutien résolu à ses racines, ses traditions et ses chantres. Pour Gilles Moretton, le début d’un hommage où il est beaucoup question de Denis Lalanne.
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Un président du Jury en lumière. L’essayiste-éditorialiste Alain Duhamel ne manque pas de redire toute l’admiration que lui inspirent ses confrères baladins de la salle de presse.
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Concentré. Christian Despont, rédacteur en chef du sport du groupe Tamedia, devient le premier journaliste à inscrire deux fois son nom au palmarès du Prix Denis-Lalanne.
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Regard admiratif sur l’œuvre créée par l’artiste chilien Franco Salas Borquez. Un tirage unique sur Japon nacré qui a été remis à Christian Despont par Gilles Moretton et Alain Duhamel.
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La photographie officielle de la remise du 9e Prix Denis-Lalanne – Trophée Roland-Garros, dans l’exceptionnel décor du court Philippe-Chatrier. On reconnaît de gauche à droite Christophe Penot, Amélie Oudéa-Castéra, Alain Duhamel, Christian Despont, Guy Forget et Gilles Moretton.
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Un Prix totalement dédié aux chantres francophones du tennis. Laurent Favre, septième lauréat, Élisabeth Pineau, journaliste au Monde, Cyrille Poméro, quatrième lauréat, Romain Schneider, journaliste au Figaro, Myrtille Rambion, première lauréate, et Christophe Penot, l’organisateur, lui-même ancien journaliste, sont venus confraternellement entourer leur ami Christian Despont.
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Gilles Moretton en conversation avec Élisabeth Pineau et Romain Schneider. « J’ai souvent pensé que, si je n’avais pas d’abord été joueur de tennis, j’aurais aimé être journaliste », a-t-il prévenu dans le livret de remise du Prix.
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Convivialité. Tandis que Sylvie de Ligt, déléguée par la Fédération Française de Tennis à l’organisation du Prix, a rejoint Laurent Favre, Cyrille Poméro et Guy Forget dans la salle, Christian Despont échange avec Nathalie Ricard Deffontaine, directrice de la communication et de la transformation digitale de la Fédération Française de Tennis, et Nicolas Beaudelin, responsable du département presse.
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Trois Prix Denis-Lalanne en trois ans pour la presse quotidienne suisse ! Laurent Favre et Christian Despont, ou le bonheur de la francophonie…
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