Le 7e Prix Denis-Lalanne en photos
La photographie officielle pour commencer ! On peut reconnaître, de gauche à droite, Christophe Penot, Guy Forget, Christine Hanquet, Bernard Giudicelli, Géraldine Pons, Daniel Chausse, Jean-François Vilotte, Nathalie Ricard Deffontaine, Philippe Peyrat, Denis Lalanne, Alain Frachon et Patrick de Cinvité d’honneur de cette septième édition.
© Cristel Éditeur d’Art / Émilie Hautier
Rendez-vous au jardin. Christophe Penot, l’organisateur, a accueilli Christine Hanquet et Daniel Chausse, les deux invités es qualités du nouveau millésime. Pour leur part, Alain Frachon, Denis Lalanne et Géraldine Pons ont rejoint Nathalie Ricard Deffontaine, directrice de la communication et de la transformation digitale de la Fédération Française de Tennis.
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Un supplément à déguster sans réserve. Tous les jurés ont trouvé dans leur assiette, spécialement dédicacé, le dernier roman d’un certain Denis Lalanne, notre toujours inépuisable auteur aux 93 printemps !
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Aux côtés de Christophe Penot et d’Alain Frachon, Nathalie Ricard Deffontaine découvre le portfolio remis à chacun des jurés. Avec une œuvre de Claude Viallat, immense peintre français dont les œuvres sont conservées dans de nombreux musées.
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L’académicien Patrick de Carolis rappelle à Bernard Giudicelli, le président de la Fédération Française de Tennis, son bonheur de venir en voisin. N’est-il pas en effet directeur du musée Marmottan Monet, autre joyau que l’on visite à l’ouest de Paris ?
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Géraldine Pons dans ses fonctions de présidente du jury. Elle est entourée de deux nouveaux visages expressément appelés à la table des débats : Daniel Chausse, vice-président de la Fédération Française de Tennis en charge de la francophonie, du juridique et du nouveau stade, et Jean-François Vilotte, le directeur général de la Fédération Française de Tennis.
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Entre Nathalie Ricard Deffontaine et Philippe Peyrat, Christophe Penot a le plaisir de présenter les nouveaux jurés à Denis Lalanne. Une aimable habitude, dans la tradition de courtoisie et d’accueil si chère à l’histoire de Roland-Garros.
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Éditorialiste au Monde et figure de la presse française, Alain Frachon consulte les derniers résultats en cette journée de qualifications. Nathalie Ricard Deffontaine l’a déjà converti au nouveau digital, version Roland-Garros !
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Sixième Prix Denis-Lalanne consécutif pour Philippe Peyrat, directeur général de la Fondation d’entreprise Engie et directeur des partenariats. Un juré attentif, aux notes de lecture toujours solidement argumentées !
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Christine Hanquet, journaliste belge exerçant pour la RTBF, explique à Denis Lalanne, Guy Forget, Daniel Chausse et à l’ensemble du jury sa vision de l’information en langue française. Une voix d’expérience puisqu’elle commence, en ce mois de mai 2019, son trentième tournoi de Roland-Garros !
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Échange silencieux entre Guy Forget, le directeur du tournoi, et Géraldine Pons, la présidente du jury. Ils sont d’accord pour dire ensemble qu’un bon article d’information est aussi un article qui sache faire rêver le lecteur…
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L’heure des votes. On remarquera qu’Émilie Hautier, la photographe officielle du Prix Denis-Lalanne, tient à respecter la confidentialité des jurés !
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Tête-à-tête constructif entre l’invité d’honneur et la présidente du jury. Deux figures de la télévision et de l’information !
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Allo, la Suisse ! Sous le regard ému de Denis Lalanne, le président Giudicelli ne veut pas manquer d’apporter au nouveau lauréat, Laurent Favre, chef de la rubrique Sport au quotidien Le Temps, ses chaleureuses et sincères félicitations fédérales.
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Ils refont le match ! En bons jurés, Jean-François Vilotte, Philippe Peyrat et Alain Frachon poursuivent avec ferveur le débat.
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Le mot de la fin sera pour Patrick de Carolis. Il dédicace le portfolio d’un Prix entièrement dédié au talent de la presse écrite et au génie de la francophonie.
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Retour au jardin, dans le décor historique de l’ancien vestiaire des joueurs reconverti en restaurant. De quoi faire oublier très joliment que la salle de presse est encore en travaux, nouveau Roland-Garros oblige !
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Septième remise du Prix Denis-Lalanne. Nous savons déjà que le lauréat, Laurent Favre, est un journaliste du Temps…
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Petits travaux d’organisateur. Christophe Penot présente à Nathalie Ricard Deffontaine le traditionnel livret édité, année après année, pour la remise du Prix.
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Bernard Giudicelli, le président fédéral, ouvre cette cérémonie de remise du Prix aux côtés de Denis Lalanne. Pour témoigner des satisfactions que promet le nouveau millésime : « Notre tournoi évolue. Il se modernise, incorpore de plus en plus de nouvelles technologies, mais sa puissance émotionnelle est une composante essentielle qui doit à jamais perdurer. La qualité des articles retenus me laisse penser que cette émotion est toujours présente. »
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« Qualité de l’information, qualité de l’écriture et force de l’émotion », confirme Géraldine Pons, la présidente de ce septième jury. Elle peut donc appeler maintenant Laurent Favre, un heureux récipiendaire élu devant Vincent Cognet, grand reporter à L’Équipe.
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Vincent Cognet et Christine Hanquet n’ont pas manqué de féliciter leur confrère franco-suisse. Une estime réciproque, et très largement partagée.
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Le beau discours, humble et ému, de Laurent Favre. Des mots choisis, pour affirmer, aux côtés de notre cher Denis Lalanne, que « la survie de la presse écrite passe par le respect des anciens ».
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Elle restera comme la photographie officielle de la septième remise du Prix Denis-Lalanne. Sept des jurés de ce millésime sont venus entourer à la fois Denis Lalanne et Laurent Favre qui a reçu le tirage unique sur Japon nacré de la lithographie réalisée par Claude Viallat.
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