Le 1er Prix Denis-Lalanne en photos
Une authentique pièce muséale : le portfolio du 1er Prix Denis-Lalanne-Trophée Roland-Garros ! Un Prix résolument francophone, créé sous le très actif parrainage de la Fédération Française de Tennis pour récompenser chaque année le meilleur article de presse écrit pendant le tournoi de Roland-Garros.
© Cristel Éditeur d’Art / Émilie Hautier
Sous le regard d’Édouard-Vincent Caloni et de Christophe Penot, le fondateur et organisateur du Prix Denis-Lalanne, l’instant des chaleureuses retrouvailles entre Jean Gachassin et Jean Glavany. Le premier, président fédéral, va tenir la rude fonction de président du jury ; le second, ancien secrétaire général de L’Élysée et député des Hautes-Pyrénées, est l’invité d’honneur de cette édition inaugurale.
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La photographie officielle du 1er Prix-Denis-Lalanne. Sur le site mythique de Roland-Garros, Jean Gachassin, Jean Glavany et l’ensemble du jury entourent Denis Lalanne, 87 ans, journaliste de légende qui offre, pour notre plus grand plaisir, son nom à ce Prix.
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Art et prestige, ou deux des piliers de la qualité d’accueil qui est celle du Prix Denis-Lalanne. Dans cet esprit, Christophe Penot présente à Patrice Clerc, directeur du tournoi de Roland-Garros de 1984 à 2000, l’œuvre spécialement créée par l’artiste Jacques Villeglé.
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Une autre personnalité de la presse : Alain Deflassieux, ancien grand reporter à L’Équipe et suiveur de quarante-trois tournois de Roland-Garros ! Ce n’est pas sans émotion qu’il découvre à son tour le portfolio offert à chacun des membres de ce jury fondateur.
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On dira plus tard qu’ils étaient douze ! De gauche à droite, on reconnaît d’Édouard-Vincent Caloni, Céline Géraud, Jean Gachassin, Antoine Sire, Alain Deflassieux, Denis Lalanne, Christophe Penot, Jean Couvercelle, Jean-Paul Loth, Jean Glavany, Patrice Clerc et Sylvie Poulain de Ligt.
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« Nous avons voulu qu’existe ce Prix pour récompenser le talent de tous ceux qui racontent Roland-Garros aux 300 millions de francophones dans le monde », explique d’une voix passionnée Jean Gachassin, le président de la Fédération Française de Tennis. Le credo fondateur.
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Dans la tradition de tous les jurys rassemblés par Cristel Éditeur d’Art, celui du 1er Prix Denis-Lalanne s’est naturellement placé sous le signe de l’amitié et de la bonne humeur. Avec une salve d’applaudissements pour saluer l’homme qui incarne ce Prix éponyme.
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L’heure est maintenant aux débats ! Céline Géraud, première femme présentatrice de Stade 2, invitée ès qualités de cette édition, prévient Jean Gachassin qu’elle saura faire entendre sa voix…
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Jean-Paul Loth, ancien capitaine de l’équipe de France de Coupe Davis, lui aussi invité ès qualités. Sa parfaite connaissance du monde de la presse et son sens de l’analyse en font un juré très écouté.
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Le choix du bon mot, comme on choisit sur un court le bon angle, selon Patrice Clerc. Á ses côtés, on reconnaît Sylvie Poulain de Ligt, déléguée par la Fédération Française de Tennis à l’organisation du Prix.
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La parole est à Édouard-Vincent Caloni, directeur de la communication et du marketing de la Fédération Française de Tennis. Un très fin lecteur dont il faut souligner qu’il a été le premier à soutenir le projet de création du Prix Denis-Lalanne — « le chantre des chantres », comme il aime à le rappeler.
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Et puisque l’on parle de lui… Signée par Émilie Hautier, photographe officielle du Prix, la belle image d’un Denis Lalanne en lecteur particulièrement attentif.
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L’heure du vote — mais en bout de table, Denis Lalanne lui-même hésite encore devant les six papiers retenus après le premier tour. Pour leur part, Céline Géraud et Patrice Clerc ont manifestement choisi.
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Dix-huit articles et douze votants. Après vérification, Édouard-Vincent Caloni et Christophe Penot, secrétaire de séance, vont pouvoir annoncer la répartition des voix.
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Six votes pour Myrtille Rambion, six votes pour Vincent Cognet au troisième tour de scrutin ! Comme le lui permet le règlement, Jean Gachassin, président du jury, fait jouer en faveur de la première sa voix qui compte double.
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Sous le regard ému de Denis Lalanne, Christophe Penot salue la naissance d’un prix qui veut célébrer l’information, l’écriture et le talent, si liés à Roland-Garros. Ce qui est saluer aussi la FFT, première fédération française à militer ouvertement pour la défense de la presse écrite et pour la francophonie.
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En présence de l’ancien champion Henri Leconte, Jean Gachassin confirme bel et bien la volonté fédérale. Pour dire, au siècle d’internet et de l’audiovisuel, que le lien historique unissant la presse écrite à la terre ocre de Roland-Garros est toujours gage de modernité.
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« Myrtille, vous avez beaucoup, beaucoup de talent, et votre article nous a enchantés », assure Denis Lalanne sous les yeux de la lauréate. Et de confier son immense plaisir de rendre, avec ce prix éponyme, quelques-uns des mille bonheurs qu’il doit à la presse écrite.
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Myrtille Rambion à jamais première lauréate du Prix Denis-Lalanne. En présence des jurés, d’Henri Leconte et de Guy Forget, elle reçoit une œuvre d’art spécialement réalisée par Jacques Villeglé en collaboration avec Cristel Éditeur d’Art.
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Myrtille Rambion interviewée devant l’affiche du 1er Prix Denis-Lalanne éditée par la Fédération Française de Tennis. L’aimable rançon de la gloire.
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Jacques Villeglé, champion de l’art contemporain. Avec son inimitable alphabet socio-politique, il dédicace son œuvre pour le plus grand plaisir de la lauréate.
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Rencontre au sommet entre un quasi nonagénaire et un septuagénaire présidentiel. Dans un bel éclat de rire, Myrtille Rambion devra décider lequel est le plus grand des deux !
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Jean Glavany, premier invité d’honneur, est revenu apporter son amitié à Denis Lalanne. Une manière aussi de fêter, avec Christophe Penot et Sylvie Poulain de Ligt, le succès de cette édition inaugurale.
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